Nos actions

17/01/2012

Journée pointage au lycée de Kernilien


Julie, Aurélie, Kristieanne, Marion et Francis
Notre groupe "AGRI-FEMME", s'est rendu au lycée de Kernilien le 8 décembre 2011 : pour la journée de pointage départemental.
Nous avons passé la matinée en salle pour apprendre l'aspect théorique du concours. Par la suite, nous avons mangé au self du lycée et avons fais un petit tour entre nous 4 sur le site pour pouvoir le découvrir un peu de plus près.
La formation "pratique" a commencée vers l'heure de 14h à la ferme laitière. Nous avons été accueilli par plusieurs techniciens qui nous on montré la démarche de pointage à faire sur 1 vache.
Par petit groupe, chaque personne devait pointer 2 vaches comme on a pu l'apprendre durant la journée.  Cette formation nous a été utile que se soit pour le TNLA mais aussi au niveau personnel car nous regarderons plus les vaches du même oeil mais bien et beau d'un oeil de pointeuse.
Cette visite nous à également permis de faire connaissance avec le sympathique groupe de Kernilien qui lui participera également au TNLA de cette édition.

2 filles de notre groupe on été dans les 10 meilleurs : Kristieanne Moorhouse qui a fais 6ème. et Aurélie Weber 7ème.
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17/01/2012

Chambre d'agriculture à Plérin

Nous, nous sommes rendus le 15 décembre 2011, accompagnée de Jean-Christophe Pierre (notre CPE) à la chambre d'agriculture pour rencontrer le groupe "Agriculture au Féminin".
Aurélie, Marion, Kristieanne et Julie
En effet, ce rendez-vous nous à permis d'échanger nos expériences ainsi que la vision sur l'agriculture au jour d'aujourd'hui. Ces jeunes femmes sont agricultrices et veulent promouvoir l'agriculture au féminin. Par ailleur, nous avons abordé notre communication que l'on voudrais faire passer aux agriculteurs de 40 ans et plus : " Une femme peut autant s'installer sur une ferme aujourd'hui qu'un homme".
Ce groupe nous soutien énormement et nous avons la chance de pouvoir créer une vidéo "LIPDUB" avec d'autres agricultrices pour qu'elle soit défilée au Salon de l'Agriculture sur le stand de la Chambre d'Agriculture.
N'hésitez pas à venir y jeter un coup d'oeil.

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19/01/2012

Article dans le Télégramme

Agri-Femme. Quatre filles dans le champ



19 janvier 2012- Réagir à cet article
Photo M.-H. C.Pour valoriser la place de la femme dans le monde agricole, elles ont créé le groupe Agri-Femme. Et représenteront le lycée agricole de Pommerit-Jaudy au Trophée national du Salon de l'Agriculture, à Paris. KristieanneMoorhouse, Marion Cochard, JuliePouhaer et AurélieWeber assurent et comptent sur une alliée de poids: Caprice, vache au poil.


À la ferme du lycée agricole de Pommerit-Jaudy, les filles s'affairent. Bien refermer les barrières, attacher le licol de Caprice, prim'holstein âgée de4 ans, laver et brosser leur bête dans le sens du poil. Marion, Kristieanne, Julie et Aurélie assurent. Il faut dire que les quatre étudiantes enBTS2eannée en Analyse et conduite d'un système d'exploitation agricole (ACE) visent ni plus ni moins que le Trophée national des lycées agricoles et s'y préparent avec acharnement. «La motivation et la volonté sont là, confirme Claude Le Hervé, leur professeurtuteur qui les suivra jusqu'au Salon de l'Agriculture (du 27février au 4mars), à Paris, où se déroulera le concours. Elles sont aussi très déterminées dans la recherche de sponsors pour monter leur budget, le projet devant être autofinancé. On a confiance, leurs profils sont différents et complémentaires». Les quatre futures agricultrices se sont ainsi réparti les tâches dans les épreuves à réaliser, en plus d'un blog (*) à entretenir. Elles seront, entre autres, notées sur la préparation de leur vache: Caprice sera douchée, tondue de la tête aux sabots, avec une technique particulière pour l'arête dorsale. «On remonte le poil et à l'aide d'un peigne spécial, on le coupe le plus droit possible», explique Aurélie. C'est le fameux clippage et ça tombe bien: Aurélie a, en effet, une formation de clippeuse en poche. Marion, elle, s'occupera de présenter Caprice au jury. Laquelle, heureusement, porte très mal son nom. «Elle est plutôt cool», apprécie la jeune fille. Chaque équipe dispose de cinq minutes pour assurer l'installation de l'animal sur le podium et réaliser un commentaire qui doit obligatoirement parler de son lycée, de ses formations et de sa région. C'est Julie qui le présentera en français, Kristieanne, en anglais. Et ça tombe bien, elle est Anglaise.

Des sponsors à la rescousse

Les demoiselles mettent en avant leurs atouts: «On est un groupe 100% féminin et multiculturel: anglais, allemand -Aurélie a des origines allemandes- et breton -Marion est de Plouigneau(29), Julie de Plouézec (22) -. Et on a déjà cinq sponsors mais il nous en faudrait d'autres...». Elles ont aussi de la suite dans les idées et considèrent, notamment, qu'«il reste du chemin à faire pour valoriser la place de la femme dans l'agriculture. Encore aujourd'hui, quand une personne vient sur une exploitation agricole et qu'elle s'adresse à une femme, elle demande souvent où est le chef... alors qu'il est juste devant elle!». Les quatre belles des champs ont donc formé un groupe baptisé «Agri-femme». Elles ont obtenu le soutien du groupe L'agriculture au féminin, de la chambre d'agriculture des Côtes-d'Armor. Avec son aide, elles vont réaliser un lipdub (vidéo, avec un fond musical dynamique) mettant en scène des femmes à la fois agricultrices et chefs d'exploitation de diverses productions (lait, porc, volaille, légumes...). Le tournage est prévu les 28 et 29janvier. Un travail qui rentre dans le cadre de leur Projet d'initiative de communication et qui comptera pour leur examen. Ensuite, la vidéo passera en boucle sur le stand de la Chambre d'agriculture, à Paris. Un message clair en direction de ces messieurs du Salon où elles ont bien l'intention, elles aussi, de faire leur promo.

*http://tnla-agri-femme-pj.blogspot.com/
  • Marie-Hélène Clam
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22/01/2012

Article dans le Ouest France





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22/01/2012

Formation Piégeur


Lors d'un de nos cours, un BTS GPN entra dans notre classe pour nous proposer de participer à la formation de Piégeur qu'ils avaient organiser pour le module du PIC.
Nous n'avions pas longtemps réfléchi et nous nous sommes inscrites sur la liste. La formation commenca du mercredi 11 au jeudi 12. Ce genre de formation coûte 35 € mais nous n'avions seulement payé 5 € grâce au lycée.
Nous nous sommes vu 8 heures par jours et avons appris le mercredi le type de cage homologué et le types de nuisible qu'il faut tuer.










Cela à été très interresant car cette formation pourra nous servir plutard dans notre exploitation.
Le jeudi nous avions passé un test de connaisance noté sur 150 points et avons manipuler l'après midi les différentes cages.
Il faut faire très attention car on peux se faire mal à n'importe quel moment d'inatention.
Nous remercions les BTS GPN pour avoir organisé cette formation car cela nous sera très utile dans l'avenir et nous recommandans cela à tous le monde.
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      Nous dans le Ouest France
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      01/02/2012
      Article le 30/01/2012 dans le Ouest-France:
      05/02/2012
      Article dans Républicain Lorrain
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      16/02/2012
      Article dans le paysans breton
      Quatre étudiantes valorisent l’agriculture et la place des femmes à Paris



      Jeunes, dynamiques, volontaires, Aurélie, Julie, Kristieanne et Marion se mobilisent depuis plusieurs mois pour participer au Trophée national des Lycées agricoles dans le cadre du prochain salon à la Porte de Versailles du 27 février au 4mars. Ce projet mûrement réfléchi et préparé avec minutie, s’inscrit dans un Pic (Projet d’initiative et de communication) et ne limite pas à présenter une vache, fusse t-elle une belle vache. Les quatre étudiantes de BTS Acse veulent à la fois se montrer dignes des meilleurs sur le ring à Paris, mais aussi valoriser la place des femmes en agriculture. D’où le nom de leur groupe « Agri-Femme ».
      Le trophée met en compétition des jeunes d’une quarantaine de lycées agricoles français avec une communication obligatoire au travers de la création d’un blog, axée sur leur groupe, leur établissement et leur projet. Elles devront aussi avoir réalisé une affiche visible sur leur stand pour présenter l’établissement d’origine.


      Caprice, joue la 5e du groupe


      Pour rejoindre la capitale, nos quatre compétitrices ont trouvé une complice au sein de l’élevage du Lycée, Caprice, une fille d’Alizée et d’Instinct qui est en 3e lactation. « Elle a une bonne génétique, sa mère Alizée a déjà participé à des concours et saura bien se comporter sur le ring ». Mais il n’y a pas qu’elle qui devra bien se comporter, car le Trophée des Lycées, c’est une série d’épreuves qui met en évidence les connaissances et les compétences des participants.
      Chaque équipe doit d’abord préparer, clipper, toiletter l’animal, avant de passer devant le jury pour une présentation en Français et dans une langue étrangère. Les rôles se répartissent en fonction des compétences et affinités. Aurélie a suivi des formations de clippeuse, et est déjà habituée à la préparation des animaux pour les concours. Rassurant pour ses amies du groupe, elle saura les guider pour préparer et présenter Caprice sous son meilleur jour. Marion aura la charge de faire défiler l’animal. Kristieanne, de par ses origines anglaises, maîtrise parfaitement la langue de Shakespeare. Elle sera donc mise à contribution pour développer les arguments, en anglais, devant le jury.


      Agricultrices et femmes


      Preuve de leur motivation, les 4 jeunes étudiantes ont décidé d’aller plus loin en initiant une autre opération originale de communication. En relation avec le groupe « Agriculture au Féminin » de la Chambre d’agriculture, elles vont réaliser une vidéo sur fond musical, aussi appelée Lipdub, qui mettra en scène des agricultrices de toutes les productions. On les verra au travail sur leurs exploitations, laitières, porcines, avicoles, légumières …, mais aussi dans leurs activités extra-professionnelles. « Nous voulons montrer que les agricultrices sont des femmes comme les autres qui ont des centres d’intérêt divers, professionnels, associatifs ou de loisirs ». Ce clip sera présenté sur le stand des Chambres d’agriculture de Bretagne au salon.
      Ce beau projet a aussi un coût, environ 3 600 €, pour toute la communication, la réalisation de la vidéo. S’y ajoute, le déplacement, l’hébergement et la nourriture à Paris … Depuis plusieurs mois, elles sont à pied d’œuvre pour mobiliser les fonds, sollicitant tous les sponsors possibles dans le milieu agricole et au-delà, auprès de commerçants ou artisans locaux. « Le budget n’est pas encore bouclé, alors si des entreprises veulent nous aider, elles seront les bienvenues », concluent les 4 étudiantes impatientes d’être à Paris.
      Pierre Dénès
      Leur blog : http://tnla-agri-femme-pj.blogspot.com


      Quatre étudiantes motivées
      Marion Cochard est issue d’une famille d’agriculteurs de Plouigneau (29). Elle souhaite s’installer avec ses parents et envisage une activité de diversification à destination des enfants.
      Kristieanne Moorhouse, d’origine anglaise habite en France depuis 20 ans. Elle réside à Tréméven (22) et voudrait s’installer en production laitière.
      Julie Pouhaer, habite à Plouézec (22), fille de producteurs de légumes bio. Son projet est de s’installer, après une expérience professionnelle extérieure. Elle est passionnée de chevaux.
      Aurélie Wéber est originaire de Lorraine. Fille d’éleveur, elle est passionnée de génétique bovine, et de clippage et souhaite s’installer
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    8 commentaires:

    1. beau travail, bon courage pour la suite
      le coach...

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    2. Jolie Photo & Très Bel Article, Bonne Communication !

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    3. je trouve que votre projet ne vos pas le coup car il y a deja eu revandication pour les femmes agricultrices!!! vous n'etes pas les seules

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      1. Merci d'avoir pris la peine de visiter notre blog.
        Je pense que notre projet vaux le coup, car beaucoup de personne nous soutiennent dont la chambre d'agriculture.
        Chacun son avis après tout!

        A-W

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      2. ha !!! c pas pour autant qu'il ne faut pas en rajouter une couche!! même si il y a eu déjà des revendication! sinon on reste dans son coin et on fait rien !!! bon courrage !!!!

        black pottock's

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      3. On n'est pas obligé d'être d'accord avec un tel projet, même si personnellement je le trouve plutôt sympa, car il illustre le dynamisme des jeunes que l'on critique parfois. Par contre on est encore moins obligé de le casser, surtout quand on n'a pas le courage de dire qui on est. C'est évidemment plus facile de critiquer que de faire, donc je redis Bravo aux 4 jeunes filles.

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    4. Bravo les filles ; ce sont les femmes(y compris les filles) qui nous font nourrir dans les zones rizicoles. Parole de riziculteur

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